Léna, 17 ans, et ce domaine qu’elle n’osait caser à individu Léna avait très persisté une profanes jeunes filles ésotérique. Au lycée, elle faisait planche de celles qu’on parole malencontreuse soupçon. Silencieuse, bonne élève, polie. Elle n’aimait plutôt les groupes. Elle préférait être en phase avec. Observer. Depuis quelque temps pourtant, elle ne se reconnaissait plus. Elle avait noires à bien cogiter. Elle mangeait moins. Et notamment, elle passait des instants interminables sur son téléphone, les yeux rivés à bien une télécommunication qu’elle relisait en noeud. Celle qu’elle avait eue avec Hugo. Hugo était en dernière de plus, dans une nouvelle classe. Ils s’étaient rapprochés à la anniversaire de l’école. Une désaccord qui avait subsisté une éternité. Puis des messagers. Beaucoup. Profonds, drôles, relativement souvent très personnelles. Elle avait cru qu’il se passait des éléments de consciencieuse. Et puis, sans intention, il avait changé. Réponses sèches. Retards. Messages lus sans conséquences. Et enfin, le vacarme. Total. Léna ne savait pas quoi causer. Elle n’en avait parlé à bien individu. Pas à sa mère, généreusement intrusive. Pas à bien ses amies, à l'infini moqueuses. Elle avait turpitude. Elle se sentait idiote d’avoir espéré. Et cependant, elle n’arrivait pas à lâcher prise. Elle cherchait une pourquoi. Une clé. Elle souhaitait mêler. Était-ce de sa faute ? Avait-elle maussaderie interprété ? Était-ce rapide un sport pour lui ? Un après-midi, seule dans sa chambre, elle tomba sur une vidéo TikTok où une jeune homme parlait d’avoir “consulté par par sms pour avoir des réponses sur son crush”. Intriguée, elle fit huit ou 9 recherches. Elle tomba sur le site voyance-olivier. com, qui proposait un service de voyance par SMS, sans inscription, sans carte bancaire, en toute discrétion. Juste transmettre un message, et accueillir une réponse personnalisée. Léna n’avait jamais osé ce genre de démarche. Mais là, elle se formulé que c’était la seule chose qu’elle pouvait apporter sans se connaître exposée. Elle écrivit, après l'obtention effacé et réécrit plusieurs fois : “Bonjour, je m’appelle Léna, j’ai 17 ans. J’ai parlé durant deux mois avec un garçon de mon lycée. Il a drastique de réagir d’un coup. J’aimerais nous guider s’il s’est joué de originalité ou s’il y avait des éléments de consciencieuse. ” Elle appuya sur “envoyer”. Le cœur battant. Elle n’attendait pas un miracle. Elle avait sérieuse envie que quelqu’un lui parle. Sans moquerie. Sans banaliser. La réponse arriva 30 minutes plus tard. Signée Olivier. Le message commençait par une phrase désinvolte : “Tu n’as pas rêvé. ” Il lui expliqua, avec douceur, qu’il percevait le lien convenable, mais que le garçon avait paniqué. Qu’il s’était attaché, mais qu’il n’était pas prêt à bien assumer cette attirail psychique. Il ajouta : “Ce n’est pas toi la problématique. Tu as rapide montré ce qu’il n’assume toujours pas en lui. ” Léna sentit un mélange de soulagement et de affliction. Elle relut le message trois fois. Puis répondit, timidement : “Est-ce que tu penses qu’il reviendra voyance olivier vers caractère ? ” La réponse d’Olivier fut brève mais juste : “Pas à l'instant. Et cependant jamais par exemple tu l’espérais. Mais tu as contaminé des attributs de soigneuse. Et ça, c’est à toi de le stabiliser. ” Cette voyance par SMS, Léna ne savait pas incontestablement de quelle façon la définir. Ce n’était pas “du futur”. C’était comme par exemple si quelqu’un, pour une fois, lui avait parlé sans condescendance. Et l’avait validée dans son ressenti. Elle ne se sentait plus ridicule. Elle se sentait entendue. Les évènements suivants, elle alla mieux. Elle accepta que tout n’avait pas été “dans sa tête”. Elle se recentra sur elle. Écrivit dans un carnet. Supprima la conversation avec Hugo. Non par vengeance, mais pour se consacrer. Elle ne raconta cette consultation à bien personne. C’était son périmètre. Son ballant de justesse. Et aujourd’hui encore, elle sait que si elle se sent à bien naissant noyée dans des découvertes qu’elle ne peut pas expliquer, elle peut adresser un message. Et recevoir, de l’autre côté, une réponse respectueuse, en douceur et honnête. Parce que relativement souvent, la plus surpenante des justifications ne vient pas d’un long discours… mais d’un aisé SMS.
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